13 mai 2005
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Aventure dérisoire aux yeux de la société, infiniment riche d'un point de vue personnel.
Errer sans autre but que de découvrir, apprendre, voir le monde. D'abord la France et les pays frontaliers, l'Europe, l'Asie, l'Afrique, le Monde entier. Une vie ne suffit pas pour tout découvrir.
Notre petite planète en sursis me donne envie de la connaître, comme une bête féroce mourante pour laquelle on aurait de la pitié, de la compassion.
Avoir la nostalgie d'endroits que l'on ne connaît pas, que l'on imagine tout au plus. Le rêve de se sentir exister, vraiment.
Depuis des mois que je m'interroge plus ou moins conscienmment sur mon avenir, je ne pense en fait qu'à une chose, m'évader. Sortir de l'oppression. Laquelle ? La mienne. Celle qui est là malgré moi et tout ce que je peux faire.
Pour acquérir une vraie liberté (quasi-liberté), il faut pourvoir se détacher de tout (quasiment tout). Je ne me sentirai jamais libre tant que je suivrai le mode de vie occidental qui privilégie le bien matériel, la consommation sur tout le reste. Personne n'est libre d'être vraiment. Nous sommes conditionnés depuis notre tendre enfance à ne devenir que des consommateurs effrénés. Heureusement que certains instants de lucidité m'ont permis de voir le monde de façon un peu moins biaisé.
Rester ancré dans un monde qui ne me convient pas, la meilleure façon de déperrir. La solution ne m'est pas encore apparue mais j'en trouverai une au moins pour un moment, celui d'une vie.
Mon point de vue reste difficilement négociable tant j'ai la conviction que l'humanité d'aujourd'hui détruit celle de demain.
L'immense plage ôterait presque à l'océan sa grandeur.
Aventure dérisoire aux yeux de la société, infiniment riche d'un point de vue personnel.
Errer sans autre but que de découvrir, apprendre, voir le monde. D'abord la France et les pays frontaliers, l'Europe, l'Asie, l'Afrique, le Monde entier. Une vie ne suffit pas pour tout découvrir.
Notre petite planète en sursis me donne envie de la connaître, comme une bête féroce mourante pour laquelle on aurait de la pitié, de la compassion.
Avoir la nostalgie d'endroits que l'on ne connaît pas, que l'on imagine tout au plus. Le rêve de se sentir exister, vraiment.
Depuis des mois que je m'interroge plus ou moins conscienmment sur mon avenir, je ne pense en fait qu'à une chose, m'évader. Sortir de l'oppression. Laquelle ? La mienne. Celle qui est là malgré moi et tout ce que je peux faire.
Pour acquérir une vraie liberté (quasi-liberté), il faut pourvoir se détacher de tout (quasiment tout). Je ne me sentirai jamais libre tant que je suivrai le mode de vie occidental qui privilégie le bien matériel, la consommation sur tout le reste. Personne n'est libre d'être vraiment. Nous sommes conditionnés depuis notre tendre enfance à ne devenir que des consommateurs effrénés. Heureusement que certains instants de lucidité m'ont permis de voir le monde de façon un peu moins biaisé.
Rester ancré dans un monde qui ne me convient pas, la meilleure façon de déperrir. La solution ne m'est pas encore apparue mais j'en trouverai une au moins pour un moment, celui d'une vie.
Mon point de vue reste difficilement négociable tant j'ai la conviction que l'humanité d'aujourd'hui détruit celle de demain.
L'immense plage ôterait presque à l'océan sa grandeur.