22 septembre 2005
4
22
/09
/septembre
/2005
00:00
Ecrire ces lignes au souffle du vent sous les premiers soleils d'automne est plaisant. Je dirais même apaisant.
Ce sentiment ne dure hélas qu'un temps car tout près de moi et bien malgré moi, je vois dans ce que l'on pourrait appeler mon quartier, plusieurs piscines individuelles, quelques 4x4, des routes, un avion en vol, des poteaux et lignes électriques... Bref, tant de choses qui me ramène à une dure réalité. La société de consommation. Injuste, exagérée, en bout de course, rendons nous à l'évidence par humanisme.
Comment en sortir ? Est-ce seulement encore possible d'une manière douce ?
Certains se demanderont pourquoi sortir de la société de consommation mais chacun le sait au fond. Nous consommons en tant que citoyen pour être reconnu, pour prendre de l'importance dans la société et au final pour exister. Pour se sentir exister. Celui qui n'a rien, n'est rien ! Et c'est là l'idéologie prédominante de notre monde...
La solution passe certainement par une certaine décroissance, une décroissance des maux qui nous rongent. Mais c'est d'une profonde et réelle prise de conscience dont l'humanité a besoin, ensuite viendra le changement.
Je suis taré, ceux qui le pensent se trompent, j'en suis pratiquement convaincu. Le monde est complexe, petit et fragile. Attention à nos actes, même individuels.
Ce sentiment ne dure hélas qu'un temps car tout près de moi et bien malgré moi, je vois dans ce que l'on pourrait appeler mon quartier, plusieurs piscines individuelles, quelques 4x4, des routes, un avion en vol, des poteaux et lignes électriques... Bref, tant de choses qui me ramène à une dure réalité. La société de consommation. Injuste, exagérée, en bout de course, rendons nous à l'évidence par humanisme.
Comment en sortir ? Est-ce seulement encore possible d'une manière douce ?
Certains se demanderont pourquoi sortir de la société de consommation mais chacun le sait au fond. Nous consommons en tant que citoyen pour être reconnu, pour prendre de l'importance dans la société et au final pour exister. Pour se sentir exister. Celui qui n'a rien, n'est rien ! Et c'est là l'idéologie prédominante de notre monde...
La solution passe certainement par une certaine décroissance, une décroissance des maux qui nous rongent. Mais c'est d'une profonde et réelle prise de conscience dont l'humanité a besoin, ensuite viendra le changement.
Je suis taré, ceux qui le pensent se trompent, j'en suis pratiquement convaincu. Le monde est complexe, petit et fragile. Attention à nos actes, même individuels.